Sanatçının Albümleri
La nuit devant
2019 · albüm
Beach
2019 · single
Le courage des oiseaux
2015 · single
Mille éclairs
2014 · albüm
Coline
2012 · albüm
78
2010 · albüm
The Book
2010 · single
Anyone
2010 · single
Benzer Sanatçılar
Concrete Knives
Sanatçı
Girls In Hawaii
Sanatçı
Frànçois & The Atlas Mountains
Sanatçı
Mina Tindle
Sanatçı
Radio Elvis
Sanatçı
Elephanz
Sanatçı
Kid Francescoli
Sanatçı
Lescop
Sanatçı
The Bewitched Hands
Sanatçı
Pegase
Sanatçı
La Maison Tellier
Sanatçı
Ladylike Lily
Sanatçı
Jil Is Lucky
Sanatçı
Mansfield.TYA
Sanatçı
H-Burns
Sanatçı
Peter von Poehl
Sanatçı
Cascadeur
Sanatçı
Granville
Sanatçı
Izïa
Sanatçı
Florent Marchet
Sanatçı
Biyografi
« Ce qui se dit la nuit ne voit jamais le jour » ce mot de Nietzsche pourrait être le prologue à La Nuit Devant, le troisième album de Baden Baden. En 2012 paraît Coline, mélange bilingue et élégant de pop française et de mélomanie anglo-saxonne qui permettra au groupe de jouer dans toute la France. Lancé, Baden Baden franchit un cap supplémentaire en 2015 avec Mille Éclairs, un deuxième album plus personnel et écrit en français où la musique passe d’une idée à l’autre sur un fond de mer que l’on sent là, derrière toute chose, mer qu’ils traverseront allègrement lors de leur tournée: du Canada au Liban, de la Colombie à la Russie en passant par l’Equateur, la Tunisie, l’Egypte, le Monténégro ou la Suisse. Baden Baden réunit et fédère avec sa poésie aussi tendre que désenchantée. Le groupe se plongera ensuite dans le silence en entamant la composition de ce qui sera leur troisième album. Élaboré entre Paris et la Bretagne, La Nuit Devant est un album éminemment moderne mais en aucun cas banal ou simpliste, où des textes fins viennent donner corps à des mélodies obsédantes aux sonorités nouvelles. En effet, Eric JAVELLE et Julien LARDÉ continuent de creuser leur sillon musical, mais cette « pop minutieuse et quasi-architecturale » (les Inrocks) qui leur est propre se colore ici de nouveaux sons, entre électro moderniste et réminiscences new-wave: les guitares et les choeurs en deviennent quasi fantomatiques, accompagnant des décors digitaux plus bruts que jamais.