On nous compare souvent À des groupes de l'insaine France C'est vrai qu'on a une bonne descente Tel Famine sur Piste Noire, avant! Lui sans la Neige, à la Chaise-Dyable Nous sans Saint-Siège, aucun Pentacle On s'est athés de trouver nos voix Un jour retrouverons-nous notre foie Pas si rose la cirrhose ♪ Écoute, les coqs au vin, pur grain d'orge! Bois ces paroles jusqu'à l'ivresse, et dort! ♪ Obscure et froncé comme un œillet violet Il respire, humblement tapi parmi la mousse Humide encore d'amour qui suit la fuite douce Des Fesses blanches jusqu'au cœur de son ourlet Des filaments pareils à des larmes de lait Ont pleuré, sous le vent cruel qui les repousse À travers de petits caillots de marne rousse Pour s'aller perdre où la pente les appelait Mon Rêve s'aboucha souvent à sa ventouse Mon âme, du coït matériel jalouse En fit son larmier fauve et son nid de sanglots Chanaan féminin dans les moiteurs enclos C'est l'olive pâmée, et la flûte câline C'est le tube où descend la céleste praline Elle dit arrêtez les gars, qu'est ce que vous faites Putain j'ai dit quoi. À deux dessus Je lui ai dit, c'est ma mère Moi et mon cousin Eugène 80 à l'heure (La 103) (À deux dessus) (Putain j'ai dit youhou) (80 à l'heure) (80 à l'heure) Au début on jouait les clowns pleureurs Clowns tristes de risibles rêveurs Prends ce qu'il reste de ton pied Qu'est ce qu'on se marre bon sang À présent Clodo François au bal musette Direct, la castagne nette! À la bonne heurt! Châtaignes, marrons, pêches, beignes et patates! Je met mon doigt C'est chaud Il me tarde de le déguster Ah là c'est bon Je commence à le prendre et à lui sucer le derrière Oh que c'est bon Je, je, je suis écœurante Et un petit peu de sel avec ça Alors toi, petit tamponneur de clavier Imagine-toi bouffer du gravier En vrai c'est assez étonnant De chier ses propres dents ♪ On est le gang Léon Le pire des ganglions Joue la plutôt, plutôt discret Tu seras peut être épargné On est le gang Léon Le pire des ganglions Joue la plutôt, plutôt discret Tu seras peut être épargné