Le soleil se couche sur ton manteau bleu
On se frôle on se touche, je te connais très peu
D'autres ont quitté leur homme, leur femme, leur enfant
Pour s'enfuir dans tes bras, parcourir les océans
Mmmmmmmh
Sur mon désert d'écumes
Où se succèdent les lunes
Mmmmmmmh
Tes vagues de silence
Habitent mes absences
Je lâche les voiles et on s'envole
Deux anonymes qui se consolent
Du mal de l'âme qu'on vit chacun un jour
Et qui guérit avec un peu d'amour
Je t'embarque avec méfiance, témoin de mon insouciance
Oserait-on se faire confiance après cette unique danse
Ta force me rassure autant qu'elle me fait peur
Bercé par tes murmures dans cette langue d'ailleurs
Mmmmmmmh
Sur mon désert d'écumes
Où se succèdent les lunes
Mmmmmmmh
Tes vagues de silence
Habitent mes absences
Je lâche les voiles et on s'envole
Deux anonymes qui se consolent
Du mal de l'âme qu'on vit chacun un jour
Et qui guérit avec un peu d'amour
Le réveil brutal des vents qui se déchaînent
De ces eaux qui s'emballent que je croyais sereines
Il reste les traces du sel de nos larmes
Quand le chant des sirènes nous arrachent ceux qu'on aime
Mmmmmmh
Quand le chant des sirènes nous arrachent ceux qu'on aime
Mmmmmmh
Quand le chant des sirènes nous arrachent ceux qu'on aime
Je lâche les voiles et on s'envole
Deux anonymes qui se consolent
Du mal de l'âme qu'on vit chacun un jour
Et qui guérit avec un peu d'amour
Je lâche les voiles et on s'envole
Deux anonymes qui se consolent
Du mal de l'âme qu'on vit chacun un jour
Et qui guérit avec un peu d'amour
Mmmmmmmh
Je lâche les voiles et on s'envole
Mmmmmmmh
Je lâche les voiles et on s'envole
Mmmmmmmh
Je lâche les voiles et on s'envole
Mmmmmmmh
Deux anonymes
Qui se consomment