Il est minuit la nuit s'ennivre de nos regards, on à trop bu, il est trop tard. On va marcher laisser nos joies sur les trottoires, de rues en rues, de bars en bars comme si les autres n'existait plus, comme si les temps ne comptait plus. Il est 8h les jour se lève sur notre histoire. Je devais partir, il est trop tard. Dans nos cafés c'est la détresse de nos déboires, c'est comme les reflet du miroir, comme si le monde devenait fou, comme s'il tournait autour de nous. Et qu'est-ce qu'on ce moque de ce que l'on dira, caché sous les note en haut comme en bas. Et qu'est-ce qu'on se fiche de ce que l'on fera, caché sous la couette ou bien sous les draps. Et qu'est-ce qu'on ce moque de ce qu'il arrivera, on sera deux, et ce sera comme ça. On ne fera trembler le sol, on fera trembler la voix, on ne sera jamais seul entre le mi et le fa. Il est n'est plus d'heure la ville s'agite sur les boulevards.C'est L'Heure de pionte, il fait déjà noir. C'est L'Heure de se taire, L'Heure du dessert L'Heure du départ. C'était L'Heure de tout foutre en l'air, c'était L'Heure de se dire aurevoir. C'était L'Heure de nos aurevoire. Et qu'est-ce qu'on ce moque de ce que l'on dira, caché sous les note en haut comme en bas. Et qu'est-ce qu'on se fiche de ce que l'on fera, caché sous la couette ou bien sous les draps. Et qu'est-ce qu'on ce moque de ce qu'il arrivera, on sera deux, et ce sera comme ça. On ne fera trembler le sol, on fera trembler la voix, on ne sera jamais seul entre le mi et le fa.