Du vent, du sexe et de la sueur Du sang, de la fête et de la peur Des partisans dans ma tête Qui s'arrachent à la douleur Que croyez-vous? Je suis comme vous Mes refrains ne changent pas tout Y a pas grand-monde dans le train Y a pas grand-monde sur le chemin Pas beaucoup d'ombres dans le lointain Les cœurs qui grondent Des outils plein les mains Ont disparu des imageries C'est trop ringard toutes ces conneries Mais j'ose encore y croire Je me fais juste mon petit grand soir Travail, famille, Sarkozy C'est la compassion pour les nantis Mais si t'as rien à offrir Prépare-toi à souffrir Au rendez-vous du MEDEF au fond d'un trou Il a des planches et même des clous T'as intérêt à tenir debout Car si demain tu sers à rien On va te jeter comme un chien Pour qu'tu puisses, une fois dans la rue Épouvantail aux mains tendues Effrayer le salarié Fermer ta gueule et pas bouger Un soir, dans le vent Je rejoindrai les partisans De ceux qui ont de l'amour pour la vie Un soir, dans la nuit Il suffira d'un instant Pour comprendre la force d'être unis ♪ Y a pas grand-monde dans le train Y a pas grand-monde sur le chemin Pas beaucoup d'ombres dans le lointain Les cœurs qui grondent Des outils plein les mains Ont disparu des imageries C'est trop ringuard toutes ces conneries Mais j'aime encore y croire Je me fais juste mon petit grand soir Un soir, dans le vent Je rejoindrai les partisans De ceux qui ont de l'amour pour la vie Un soir, dans la nuit Il suffira d'un instant Pour comprendre la force d'être unis Un soir, dans le vent Je rejoindrai les partisans De ceux qui ont de l'amour pour la vie Un soir, dans la nuit Il suffira d'un instant Pour comprendre la force d'être unis