Il s'appellait Ernesto, n'aimait pas les fachos Il libera Cuba du tyran Batista Il ne supportait plus la misère sur cette Terre L'exploitation sauvage des peuples prolétaires Alors il leva les armes, oui, un beau matin Descendant la montagne libera les Cubains Il devint le héro des petits, des prolos Des peuples opprimés par le fric et le blé Ernesto Che Guevara Ernesto Che Guevara Il s'appellait Ernesto, il n'avait peur de rien Il fumait le cigare au coeur de la bagare Il reprit le combat même si il s'avait bien Que cette lutte serait, pour lui, jamais sans fin Et d'un simple regard redonnait du courage Au peuple abandonné au tyrans affamés Et d'un simple regard redonnait de l'espoir Au peuple opprimé par le fric et le blé Ernesto Che Guevara Ernesto Che Guevara Il était sans pitié et flinguait les batards Qui transformaient la vie des Cubains en cauchemard Il reprit le combat même si il savait bien Qu'un jour pour lui aussi, oui, ce serait la fin Ernesto Che Guevara Ernesto Che Guevara Ernesto Che Guevara Ernesto Che Guevara Ernesto Ernesto