Ardentes femmes phaliques agglutinêes Nefas altise les corps sans peine, les têtes, pénétre Asphyxiées À en pâlir Nature obscure, luxure perdure L'écume des sourds effuse, onguent collant Offrande aux catins séminales Blessure impure, luxure suture ¡Fuis! L'ofire débordant de vices L'oratrice moite de nefas embrasse Ses esclaves, profonde, de sa gorge cilice Laticlave lisse... les froides cuisses s'enlisent Cassent Les os putréfiés sous l'aiguille trouble dêcharnés Désir psychique, douleur physique, nefas se fait désirer Vortex noir, l'aube immorale, dépourvoit Électrise les lÈvres rougies de fiÈvre L'ofire débordant de vices L'oratrice moite de nefas embrasse Ses esclaves, profonde, de sa gorge cilice Laticlave lisse... les froides cuisses s'enlisent ♪ (Me cuisses supplient) (L'ofire) L'ofire ♪ (Sois sans crainte, je renais aux sombres heures du soir) (Sos sans crainte, je connais le son de ton âme Tes hurlements arrachés de désir) (Du fond de ces mines obscures) (Des lagunes diluviennes s'épanchent) (Violemment autour des corps) ♪ Roi, ce miroir brisé Renvoit l'image sale, ton reflet La vertu, le péché mélés dans nos chairs Du bois courbe, l'homme de bien, le pervers Brille, vibre, le fébrile équilibre Le bourreau docile s'automutile