La lune blanche luit dans les bois De chaque branche Part une voix sous la ramée Ô bien aimée L'étang reflète, profond miroir La silhouette Du saule noir où le vent pleure Rêvons, c'est l'heure Un vaste et tendre apaisement Semble descendre Du firmament que l'astre irise C'est l'heure exquise