On trainait le soir, un peu trop tard Assis sur des rambardes à fumer en cachette des cigarettes Allumées à la chaine et s'raconter des cracks, un peu d'arnaque Juste bomber le torse et puis parler plus fort, faire les cadors Quand passent les groupes de filles et Au moindre souffle d'air, nos yeux s'engouffraient sous les jupes légères Les défilés amers avaient vraiment tout pour plaire Au moindre courant d'air, nos yeux s'engouffraient sous les jupes légères Les défilés amers avaient vraiment tout pour plaire Et sous nos baskets, la route muette traçait chaque jour le même chemin Nos sourires fragiles pas bien virils ne nous laissaient pas une chance Les désirs déçus, amours perdus, jalonnaient nos enfances et sous nos airs blasés L'air de pas y toucher, on chavirait en silence Au moindre souffle d'air, nos yeux s'engouffraient sous les jupes légères Les défilés amers avaient vraiment tout pour plaire Au moindre courant d'air, nos yeux s'engouffraient sous les jupes légères Les défilés amers avaient vraiment tout pour plaire ♪ Au moindre souffle d'air, nos yeux s'engouffraient sous les jupes légères Les défilés amers avaient vraiment tout pour plaire Au moindre courant d'air, nos yeux s'engouffraient sous les jupes légères Les défilés amers avaient vraiment tout pour plaire Au moindre souffle d'air, nos yeux s'engouffraient sous les jupes légères Les défilés amers avaient vraiment tout pour plaire Au moindre courant d'air, nos yeux s'engouffraient sous les jupes légères Les défilés amers avaient vraiment tout pour plaire