J'ai jamais voulu te raconter l'histoire d'un cygne pas trop bavard D'un oiseau prisonnier du noir dont les ailes n'inspiraient plus l'espoir Souvent je voulais t'éloigner des pensées noires d'un cygne un peu trop plaignard D'un oiseau secouru trop tard dont les ailes servaient d'échappatoire Alors, alors à tort, il s'usait au corps à corps Aveuglé par l'habitude, il frôlait l'ingratitude Alors jusqu'à l'aurore, l'oiseau cherchait du réconfort Angoissé par ses questions, il souffrait d'abandon J'ai longtemps vu un cygne voler à peine Tourmenté par le règne d'opinions peu sereines Il crut longtemps les signes des âmes en peine Aveuglées par la haine d'obsessions malsaines J'ai longtemps vu un cygne planer à peine Trop hanté par les scènes d'humiliations mondaines Il crut longtemps les signes des cœurs en peine Envieux de son amour, ils le comblaient de haine ♪ Vis avec toi-même sans faire de compromis, laisse-toi savourer l'ennui Seul à seul avec toi c'est aussi comprendre l'origine du conflit Fais preuve de résilience même s'il t'a tout pris, essaie d'éclairer l'ennemi "Pardonner ses erreurs c'est accepter l'imperfection", c'est ce qu'ils m'ont dit Alors, alors encore, abandonne le corps à corps Laissons l'abus d'illusion et laissons la dérision J'ai longtemps vu un cygne voler à peine Tourmenté par le règne d'opinions peu sereines Il crut longtemps les signes des cœurs en peine Envieux de son amour, ils le comblaient de haine ♪ Je fus longtemps ce cygne volant à peine Tourmenté par le règne d'opinions peu sereines Je crus longtemps les signes des âmes en peine Aveuglées par la haine d'obsessions malsaines Je fus longtemps ce cygne planant à peine Trop hanté par les scènes d'humiliations mondaines Je crus longtemps les signes des cœurs en peine Jaloux de mon amour, ils m'aimaient de haine