Ne crains-tu pas que l'ivraie qui parsème ton champ Vienne étouffer le bon grain qui lève en même temps N'enlevez surtout pas les fleurs empoisonnées De crainte qu'à la fois vous n'arrachiez le blé Ne crains-tu pas que l'ivraie qui parsème ton champ Vienne étouffer le bon grain qui lève en même temps Qu'ils grandissent pareil au rythme des saisons Et qu'ils s'ouvrent au soleil jusqu'au temps des moissons Ne crains-tu pas que l'ivraie qui parsème ton champ Vienne étouffer le bon grain qui lève en même temps Faites un feu de l'ivraie quand vous l'aurez lié Avant de recueillir le blé dans mes greniers Ne crains-tu pas que l'ivraie qui parsème ton champ Vienne étouffer le bon grain qui lève en même temps J'ouvrirai ma maison à ceux qui m'ont aimé J'enverrai loin de moi ceux qui m'ont oublié Ne crains-tu pas que l'ivraie qui parsème ton champ Vienne étouffer le bon grain qui lève en même temps