Certains la préfèrent nocturne Lorsqu'elle doit forcer le pli Mais moi j'en suis tombé d'amour Dimanche après-midi Lorsqu' elle se lève de la veille Qui fut bruyante d'éclat Et des misérables qui harcèlent Pour devenir son roi L'amour imparfait enfonce Le ciel quand il est gris Et quand les hommes renoncent Aux brèves querelles sous la pluie A la recherche des lagunes On s'y noierait pourtant Elle est belle, comme elle suinte La friture et l'argent Amsterdam est belle quand on la prend nonchalamment Amsterdam entraîne les coeurs solistes doucement Amsterdam, je perds mes heures et cours éperdument Dans les rues qui m'emmènent d'un bout à l'autre de tes monuments Amsterdam je t'aime encore, putain qu'est-ce que t'es belle Pourquoi faire le tour du monde alors que tu m'appelles Amsterdam ici ça va mais tu me manques souvent A Bruxelles aussi le ciel gris nous berce, c'est pas la même pourtant Mais faudra bien un jour, tu sais, faudra que ça s'arrête Les hommes sont fous à se cogner le crâne contre leurs rêves Ils remplissent l'attirail car la guerre amène l'hiver Il n'y a qu'un être humain pour croire que l'bonheur, ça s'achète Faudra bien un jour tu sais, faudra que ça s'arrête Les hommes sont fous à se cogner le crâne contre leurs rêves Ils remplissent l'attirail car la guerre amène l'hiver Il n'y a qu'un être humain pour croire que l'bonheur, ça s'achète Il y a des ombres allumées Les temples d'anciens temps Et des maisons inclinées Par les trois X et le vent Maritimes arabesques Ont rapporté leurs fruits Et le long de grandes fresques La belle douceur s'ensuit Mais quand revient la lune Se redessinent les courbes Des plafonds les plus riches Aux rideaux les plus rouges Quand les ponts et les lettres Ont leur plus belle odeur Les fenêtres ouvertes Aux grandes impudeurs Amsterdam est belle quand on la prend nonchalamment Amsterdam entraîne les coeurs solistes doucement Amsterdam, je perds mes heures et cours éperdument Dans les rues qui m'emmènent d'un bout à l'autre de tes monuments Amsterdam je t'aime encore, putain qu'est-ce que t'es belle Pourquoi faire le tour du monde alors que tu m'appelles Amsterdam ici ça va mais tu me manques souvent A Bruxelles aussi le ciel gris nous berce, c'est pas la même pourtant Mais faudra bien un jour, tu sais, faudra que ça s'arrête Les hommes sont fous à se cogner le crâne contre leurs rêves Ils remplissent l'attirail car la guerre amène l'hiver Il n'y a qu'un être humain pour croire que l'bonheur, ça s'achète Faudra bien un jour tu sais, faudra que ça s'arrête Les hommes sont fous à se cogner le crâne contre leurs rêves Ils remplissent l'attirail car la guerre amène l'hiver Il n'y a qu'un être humain pour croire que l'bonheur, ça s'achète