Que m'importe la beauté ou même la fin du monde Le plus doux des jours d'été, la vue la plus immonde Tout m'est futile quand je réentends ta voix Douce et fragile, me dire Je ne t'aime pas Que m'importe tous ces mots que sûr on m'offrira Pour me guérir de mes maux, cette blessure de toi C'est inutile, car mon cœur est au trépas Et toute la ville Sait que tu ne m'aimes pas Ah ah ah ah Et même le chant des oiseaux, le bon vin et la musique Et même le vent sur ma peau, même l'ami qui me dit Que tout s'arrange avec le temps Car depuis ce soir, tu vois, je ne pense qu'à ça Car depuis j'entends ta voix dire Je ne t'aime pas C'est ironique, moi qui n'y croyais même pas Presque comique, l'amour s'est vengé de moi Alors puisqu'il faut souffrir, que personne s'en sauvera Que ce soit pour ton sourire qui malgré tout vivra Mélancolique, j'avancerai pas à pas Jusqu'à l'oubli que, ça n'sera pas la dernière fois Ah ah ah ah Et même le chant des oiseaux, le bon vin et la musique Et même le vent sur ma peau, même l'ami qui me dit Que tout s'arrange avec le temps Que m'importe la beauté ou même la fin du monde Le plus doux des jours d'été, la vue la plus immonde Tout m'est futile quand je réentends ta voix Douce et fragile, me dire Je ne t'aime pas