Je m'réveille le matin Je n'me sens pas très bien Je voudrais vomir À quoi bon Mon pot est déjà plein Mes ongles sont en broussaille Mes cheveux en écailles Je voudrais vomir À quoi bon J'attendrai les nuages Qui vont effacer mon beau temps C'est dur à supporter Lorsqu'on est fou comme Dieu Et je souffle dans mes fenêtres Elles se transforment en bulles de verre Elles vont se promener dans le ciel Elles vont se promener dans le ciel Et si la mort vient pour me chercher Je resterai là, inanimé Avec le plus grand des sourires Et si la mort vient pour me chercher Je resterai là, inanimé Avec le plus grand des sourires Je pleure en délire tous mes déséquilibres Le mental aux alarmes, les pixels de larmes Les odeurs de couteau, les fêtes de lames Les sirènes du sang qui annoncent la venue de la mort La venue de la mort C'est sans doute les nuages Qui ont effacé mon beau temps C'est dur à supporter Lorsqu'on est fou comme Dieu Mais j'ai lancé dans les airs des confettis de sang Tous mes murs te le diront Et si la vie revient me chercher Je lui cracherai au visage toute la rage De ces jours où elle m'a laissé pleurer Sourire Sourire Avec le temps qui court Avec le temps qui passe J'ai compris que ma tête était dans une impasse Que mon coeur était un labyrinthe Et que mon corps était son pantin Avec le temps qui court Avec le temps qui passe J'ai compris que ma tête était dans une impasse Que mon coeur était un labyrinthe Et que mon corps était son pantin La vie qui ne veut plus de moi Mon coeur est en vertige La vie qui ne veut plus de moi La vie qui ne veut plus de moi La vie qui ne veut plus de moi Mon coeur est en vertige La vie qui ne veut plus de... La... La vie qui ne veut plus de moi La vie qui ne veut plus de... La... La vie qui ne veut plus de moi La vie qui ne veut plus de moi La vie qui ne veut plus de moi La vie qui ne veut plus de moi La vie qui ne veut plus de... Et... et... et... et... et... et... et...