Je mène une vie de bohème À monter et descendre la vingt Jusqu'à même dire un jour Ma passion c'est mon gagne-pain Quand j'suis au pied du mur Et le poids deviens trop lourds J'me dis si j'tiens le coup Je couronnerai enfin ce jour Me yeux vers le ciel Je redoute parfois De cette flamme si brûlante De ses il était une fois Est-ce que c'est si utile qu'un prince devienne roi Pour autant Je suis si triste que j'peux pas m'arrêter d'sourire J'bas la déprime, j'l'assomme à grands coups de fou-rire Je me perds toujours dans l'temps Au point de fondre en larmes J'essaie de me prendre en main Au lieu de toujours rendre les armes Même si la route est longue Même si j'avance à petits pas Le mal vaut la peine d'être vécu Pour savourer le résultat Je regarde le ciel Et maintenant, je comprends Pourquoi je rêve si fort Même si le vent souffle contre moi C'est inutile d'en faire un drame pour autant Car finalement Je suis si triste que j'peux pas m'arrêter d'sourire J'bas la déprime, j'l'assomme à grands coups de fou-rire Je suis si triste que j'peux pas m'arrêter d'sourire J'bas la déprime, j'l'assomme à grands coups de fou-rire Je suis si triste que j'peux pas m'arrêter d'sourire J'bas la déprime, j'l'assomme à grands coups de fou-rire Je suis si triste que j'peux pas m'arrêter d'sourire J'bas la déprime, j'l'assomme à grands coups de fou-rire Je suis si triste que j'peux pas m'arrêter d'sourire J'bas la déprime, j'l'assomme à grands coups de fou-rire Si triste que, si triste que, si triste que J'l'assomme à coups de fou-rire