Si on s'évite, c'est pourtant rien Et si je sévis, c'est pour ton bien J'en parle à mes lossa, j'arrive plus à rester sain Tu sais j'ai fumé ça jusqu'à m'en brûler l'œsophage Faudrait qu'on mette à plat tout dans un e-message On s'retrouvera en bas pour se dire au revoir Puis un dernier appel pour confirmer ce que j'entends Mais j'préfèrerais rapper pour te dicter ce que j'en pense Dans un métro, je revois encore ta silhouette D'la beuh j'en met trop, ça sent jusqu'à des kilomètres La nuit, j'te vois, en bas, chez moi Vas t'en de mon crâne, j'veux pas te croiser Dans un métro, je revois encore ta silhouette D'la beuh j'en met trop, ça sent jusqu'à des kilomètres Tu me donnes pas l'choix de maitriser mes colères Je me déçois dans nos souvenirs d'hier Alors j'attends Que tu me contactes et qu'j'oublie que je m'énerve M'énerve encore Ce sentiment qui me laisse face à mes peines J'suis pas à l'aise dans mon esprit J'ai pris un coup dans mon estime Une vie sans toi fait la différence Sans filtre Tout te compter dans la confidence J'ai plus confiance dans la résine Qui m'a faibli, en moi un démon qui réside Ça m'doit comment tout ça s'arrête Et la distance a brisé nos rêves J'ai n'ai qu'un sac pour porter mes peines Alors j'attends La nuit, j'te vois, en bas, chez moi Vas t'en de mon crâne, j'veux pas te croiser Dans un métro, je revois encore ta silhouette D'la beuh j'en met trop, ça sent jusqu'à des kilomètres