Tu traînes dans cette foule bruyante comme un métro Du bourgeois chapeauté mendiant sale et triste Pour ta tête qui se vide, tout est factice Casse-toi pour effacer, il y a trop d'empreintes sur ce pavé CASSE-TOI CASSE-TOI Quand t'alignais ton pognon, elle avait le regard doux Elle te prêtait son corps, mais toi tu voulais sa joue Lorsque la tienne aurait voulu la saisir Il y a d'autres horizons, il y a d'autres saisons Le temps devant ta glace, jouera les essuie-traces Casse-toi dire à la fleur, qu'elle était une star Casse-toi, t'es un prince, ton pouvoir est trop mince CASSE-TOI CASSE-TOI