J'ai pris un jet privé pour venir te voir hier soir dans un cauchemar d'un rêve que j'ai concocté Tu chantes une note bleue vieux jeu chiffre chanceux 13 peau beige les manèges de la haute société Fou comment petite ville deviendra grande ça fait bientôt un an que j'ai pas vu ta figurine Et puis quand j'y pense vraiment, on n'a fait que tuer le temps En essayant de se ressembler Des voyages imaginaires, des pensées interstellaires Je suis parti sans arriver À qui la faute, qui la faute, qui la faute, qui la faute Dans la guerre des doigts pointés c'est toujours la faute de l'autre Damn gurl t'es la première à m'appeler babe Uh huh, spread love it's a Brooklyn thing Dum dum dada dum dada dum dadada Ta vie dans des boîtes, une chambre sans rideaux Dénudée de dos, la, si, les yeux mi-clos Je fume doucement, pour marcher à reculons Me voilà éclaté comme une bulle de savon Je ferme les yeux pour revoir ton visage Laisser ma mémoire brûler ton image Pour toi j'ai été chandail blanc sous la pluie La buée qu'on essuie, le mensonge de la nuit Jalousie du soleil qui colorie tes joues Apres une soirée dans le bus aux yeux rouges Et puis quand j'y pense vraiment J'ai fait que tuer le temps En essayant de te ressembler Je me demande combien de garçons Ça a pris pour que mon nom n'apparaisse plus dans tes pensées Paraît que je me suis noyé dans les yeux que tu portais le septième soir au bord des marches station Berri Ce qui a été n'est plus que deux billets vite faits pour jamais dire le jour ce qu'on se dit la nuit Fou comment petite ville deviendra grande ça fait bientôt un an que j'ai pas vu ta figurine