Il y a parfois des choses difficiles à imaginer Il y a parfois des choses, qu'on a du mal à avaler Et, c'est venu de toi Je croyais tellement fort que les frontières étaient tombées Je croyais tellement fort à la belle égalité Mais c'est venu de toi J'essaie de dire que je m'en fous Que je peux vivre sans Que l'essentiel, c'est juste nous Mais c'est vrai que je mens J'essaie de dire que je m'en fous Je sais ce qui est important Mais il y a toi et il y a nous Entre les deux, ton jugement Comment on en arrive là, à plaquer des idées jaunies Comment on en arrive là, à voir en l'autre un ennemi Et, c'est venu de toi Et j'ai soudain en moi tout ton venin qui se déchaîne Je me dis que je n'y crois pas, mais il trempe malin dans mes veines Et je ne comprends pas J'essaie de dire que je m'en fous Que je peux vivre sans Que l'essentiel, c'est juste nous Mais c'est vrai que je mens J'essaie de dire que je m'en fous Je sais ce qui est important Mais il y a toi et il y a nous Entre les deux, ton jugement À qui, à qui la faute Un monde qui court obscurément À qui, à qui la faute Que va-t-on dire à nos enfants J'essaie de dire que je m'en fous Que je peux vivre sans Que l'essentiel, c'est juste nous Mais c'est vrai, que je mens J'essaie de dire que je m'en fous Je sais ce qui est important Mais il y a toi et il y a nous Entre les deux