Pour aller te voir Il faut prendre le train C'est simple, ça me berce, j'aime bien Je pense à toi depuis chez moi Avant même qu'il en soit question Et quand je comptais les moutons Ils se mettaient souvent, volages À sauter part dessus l'étage Alors je les immitais puis, manquant de prendre l'eau Me tirais jusqu'à la rive, une langue d'effluve de porto J'ai le sucre au bord des lèvres Le rubis au creux du ventre Un petit creux aussi, c'est vrai Dîner de sardines me dirait Sur un lit de tomates vertes Le vent du soir, boisé, eucaliptus Porto Malgrès mon très jeune âge Voici ma demande en mariage Me dirais-tu seulement peut-être Ce serai le plus doux des peut-être Mais j'attendrai à tes abords que tu sois prête Porto Malgrès mon très jeune âge Voici ma demande en mariage Me dirais-tu seulement peut-être Ce serai le plus doux des peut-être Mais j'attendrai à tes abords que tu sois prête Mon corps et mon coeur Demandent encore à chaque heures Que je m'enaille flâner dans tes jardins Les mains sous l'eau de leurs fontaines Que je m'étonne encore du courage des pêcheurs Et de leurs barques aux voyantes couleurs Sur le rose pâle de l'eau Petite farandole de fleurs Blanche écume à leur sillage, me voilà parti à la nage Partager sur un bâteau un verre de vieux vin, de porto Malgrès mon très jeune âge Voici ma demande en mariage Me dirais-tu seulement peut-être Ce serai le plus doux des peut-être Mais j'attendrai à tes abords que tu sois prête Porto Malgrès mon très jeune âge Voici ma demande en mariage Me dirais-tu seulement paut-être Ce serai le plus doux des peut-être Mais j'attendrai à tes abords, j'attendrai ♪ Partager sur un bâteau un verre de vieux vin, de porto Porto Porto