Ce jour où tout va bien, elle me tend toujours la main ♪ Ce soir, c'est la déflagration Une onde, une voix pour me dire la situation Me remettre en face de toutes mes illusions Une première entaille dans notre relation Difficile à panser mais ordre d'une destinée un peu trop programmée La peur viendrait nous ronger Celle-là qui nous renvoie finalement à notre superficialité On n'a plus le droit de croire à 100 pour 100 Aujourd'hui c'est du second degré, le noir et le blanc ne sont plus C'est le gris pâle qui apparaît, nous l'avons toujours su C'était sciemment cadré, rire jaune en tournant la page (ah-ah, ah-ah) Et se faire croire encore une fois (que l'on ne souffre pas) Je ne prendrai pas cette direction Je veux vivre sans concessions avec plus de vibrations ♪ Ce jour où tout va bien, elle me tend toujours la main Je n'y suis pas tout à fait, je vois toutes les femmes Chaque page, chaque inscription Dans les vitrines, sur les écrans Une étincelle, une frustration (Le doute a changé de camp) Il est à mes côtés maintenant, je vois toutes les femmes Mouvements, ondulations Maquillage surdosé, chaussures à talons Et je matte les amères icônes Ma consolation cathodique De l'humain consommable, bientôt les femmes jetables Ils veulent cette nouvelle norme, des contours et des formes Rire jaune en admirant la page et se faire croire Encore une fois (encore une fois), encore une fois Que l'on ne souffre pas Je ne prendrai pas cette direction Je veux vivre sans concessions avec plus de vibrations (plus de vibrations) ♪ Je ne prendrai pas cette direction Je veux vivre sans concessions avec plus de vibrations Sans concessions Sans concessions Sans concessions Sans concessions Sans concessions