Bien sûr, vous ne pourriez comprendre Ce que cet homme était pour moi Un parterre de fleurs d'oranges Allongé là tout contre moi Ce fut par une nuit blanche Passant par là, passant par là Je pleurais sans me faire entendre Pour quelque amour d'autrefois Si le bonheur vous laisse en berne Il peut venir du coin d'un bois Et prendre du destin les rênes Écoutez-moi, écoutez-moi Moi, j'voudrais juste qu'on m'apprivoise Qu'on m'apprivoise Moi, j'voudrais juste qu'on m'apprivoise Qu'on m'apprivoise Sans me juger, sans me blesser Sans me chasser, sans me garder ♪ Je la pris un jour dans mes bras Ses petits yeux posés sur moi Firent d'elle la plus belle, tu m'apprivoises, me voilà Mais comme le vent se lève, un jour de-ci, un jour de là Des heures d'attentes vaines me firent craindre le trépas Si le bonheur vous laisse en berne Il peut venir du coin d'un bois Et prendre du destin les rênes Écoutez-moi, écoutez-moi Moi, j'voudrais juste qu'on m'apprivoise Qu'on m'apprivoise Moi, j'voudrais juste qu'on m'apprivoise Qu'on m'apprivoise Sans me juger, sans me blesser Sans me chasser, sans me garder ♪ Bien sûr, vous pourriez comprendre Si mon bonheur pas à pas Vous frôlait le corps et le cœur Cette petite âme si chère à moi Si le bonheur vous laisse en berne Il peut venir du coin d'un bois Et prendre du destin les rênes Écoutez-moi, écoutez-moi (Moi, j'voudrais juste qu'on m'apprivoise) (Qu'on m'apprivoise) (Moi, j'voudrais juste qu'on m'apprivoise) (Qu'on m'apprivoise) Sans me juger, sans me blesser Sans me chasser, sans me garder