Les italiennes, ça vous prend par les yeux Et ça vous déshabille aussi sec D'un regard à faire bander le bon Dieu A déflorer un troupeau d'évêques Les italiennes, ça vous prend par le sourire Et ça va vous chercher des fossettes Au fond desquelles se cachent tous les satires Et enfin trouvent, trouvent leur nymphette Les italiennes (les italiennes) Les italiennes, les italiennes Les italiennes, ça vous prend par les mains Et ça joue, joue les marionnettistes Ainsi font, font, font les petits pantins Trois petits tours avant de quitter la piste Les italiennes, ça vous prend par la langue Et ça chante, comme une petite sirène Qui vous pondrait des sonates pour Big Bang Tous les 28 jours, trois fois par semaine Les italiennes, les italiennes Les italiennes, les italiennes Pendant ce temps-là ♪ Les Blaireaux se demandent "Toutes ces beautés qu'on croisent l'été, où sont-elles en hiver?" Ecoutez-moi bien, les petits gars Elles habitent la botte, et ça, ça m'botte (ouah, eh) ♪ Les italiennes, ça vous prend por il culo Pour un con, puis sans demander son reste Ça vous mène à Venise en bateau puis ça vous laisse en rade de Trieste Les italiennes, ça vous prend par le rire Et ça se goinfre, la bouche grande ouverte Un de ce qui pourrait vous arriver de pire, tomber amoureux Tomber amoureux Des italiennes, tomber amoureux des italiennes Des italiennes, des italiennes