(Parfois trop souvent, parfois trop) On longe les deux côtés (Parfois trop souvent, parfois trop) L'un pour ne plus reconnaitre ceux qui hier respiraient, l'empathie L'autre pour ne plus regarder ceux qui s'exalteront demain Où se trouve alors Où se trouve alors, son bon côté En sachant que nous-même Faisant preuve de sarcasmes et d'égocentrismes Nous ne pouvons, nous sentir parfois Nulle part à notre place? Nulle part à notre place? Car un faux-pas sur ce mur et tout change Du noir au blanc Des nomades ou des résidents, des lumières ou des ombres Des enfants gates Ou des frères de misère, malgré cette ligne Qui nous traverse Aucun de ses abords ne sont Tous bons ou tous mauvais Aucun de ses abords ne sont Tous bons ou tous mauvais Ou tous mauvais Ou tous mauvais Mais si tu en tombes alors Ce mur devient la tour de Babel Un immeuble fragile et sans fin Construit par des gens Qui parlent la même langue sans savoir l'accorder