Si je m'y attendais Vivre entre parenthèses Cogner toutes les portes Me nourrir de ses crises de nerfs Et voir grossir tous mes torts Ses problèmes sont devenus les miens Ancrés en moi avec la même douleur J'avais beau essayé de changer C'est comme écrire sur un tableau noir Avec une craie d'la même couleur J'essayais de réanimer Quelque chose déjà laissé pour mort J'avais pourtant beaucoup d'amis que j'ai lâché pour ça Les mêmes à qui j'raconte aujourd'hui Que je vais mieux genre J'ai vécu une expérience Et c'est bien fait pour moi C'est sûr J'y pense aussi fort que je pense à respirer J'ai toujours envie d'elle à mort, mais le plus dur C'est pas de rester fidèle à cette fille Mais de rester fidèle à moi-même Quand on est tous les deux Je revois toutes les saisons Je suis content quand il pleut Je peux noyer tous mes démons C'est la sécheresse dans nos cœurs Le tristesse a ses raisons Un sourire dans les pleurs, est ce qu'on est dans l'erreur Je t'ai offert mon cœur Je te laisse faire quand tu le tortures J'ai jamais fermé les yeux Ça fait des mois que je ne dors plus C'est la redescente Un peu comme le font les drogues dures Ton sourire me manque Mais le mien me manque encore plus Son sourire a des reflets polaires J'm'étais dit qu'il referait beau mais y'a comme une dépression Dans le creux de ses pommettes Y a plus de connexion On a plus l'impression de se connaitre On aime trop la défonce (Hollywood Motel) C'est notre côté starlette Si j'vois des étoiles, des comètes C'est qu'elle m'éclate la tête contre un tesson On est pas les plus zen On tuera pas le suspens on s'avait dans la peau, mais aucun ne l'avoue Sur nos plaies j'mets du sel Dans notre histoire y a du sang et des larmes Comme sur le drapeau de Nethanyaou ♪ Quand on est tous les deux Je revois toutes les saisons Je suis content quand il pleut Je peux noyer tous mes démons C'est la sécheresse dans nos cœurs La tristesse à ses raisons Un sourire dans les pleurs, plus d'air dans les poumons Aucune autre que toi n'aurait pu me faire aussi mal Je ne trouve plus de réconfort dans les cigarettes que j'inhale Les feuilles blanches sont devenues ma bête noire, colère immense Je n'entends plus mes battements On aurait dû tout bêtement détruire nos coeurs Comme t'as détruit l'appartement On avait des raisons d'y croire quand on le faisait dans le noir Une impression de déjà vu, quand je regarde le miroir Comme le bleu de mes pupilles, j'aimerais plonger dans le néant Je t'ai offert mon cœur Je te laisse faire quand tu le tortures J'ai jamais fermé les yeux Ça fait des mois que je ne dors plus C'est la redescente Un peu comme le font les drogues dures Ton sourire me manque Mais le mien me manque encore plus Encore plus Encore plus Encore plus Encore plus Encore plus Encore plus Ton sourire me manque Mais le mien me manque encore plus