Qui a dit qu'c'était interdit D'aller là où personne ne va Qui a dit qu'c'était interdit D'aller faire ce qui n'a jamais encore été fait Qui t'as dit que monter là-haut Tu n'y arriverais pas Et qui t'a dit que t'étais trop sot Pour pouvoir y aller tout seul et toi-même faire le pas Retourne-toi, retourne-toi Regarde-toi, regarde-toi Mets tes lunettes si tu ne vois pas La route qui t'attend Qui te tend les bras Au fond de toi Regarde là, regarde là Et lance-toi, et lance-toi Tu es la plume de mire de ton avenir Ton encre est un passé Qui te fera avancer Tes cartouches, les repères de tes paires Pendant que d'autres font tourner la roue Toi tu joues à repousser le jour Pendant que d'autres misent au jeux de la vie Tu t'éloignes, tu fuis, tu loupes le tour de tes envies Et tu ne vois pas le panorama De ces choix qui ne tiennent qu'à toi Ils feraient pourtant un beau tableau Qui serait aussi grand que ce que tu voudrais mettre dedans Retourne-toi, retourne-toi Regarde-toi, regarde-toi Mets tes lunettes si tu ne vois pas La route qui t'attend Qui te tend les bras Au fond de toi Regarde là, regarde là Et lance-toi, et lance-toi Tu es la plume de mire de ton avenir Ton encre est un passé Qui te fera avancer Tes cartouches, les repères de tes paires Alors, cours, cours, cours Tu n'es qu'à l'aurée du bois Alors, fonce, fonce, fonce Pour voir les détours Détourner ce que tu crois Retourne-toi, retourne-toi Regarde-toi, regarde-toi Mets tes lunettes si tu ne vois pas La route qui t'attend Qui te tend les bras Au fond de toi Regarde là, regarde là Et lance-toi, et lance-toi Tu es la plume de mire de ton avenir Ton encre est un passé Qui te fera avancer Tes cartouches, les repères de tes paires