Je n'sais plus rêver À quoi donc prier Et pourquoi encore aimer Bouteilles sur l'côté Et le portrait totalement dévasté J'admire le tableau d'mon passé Ça m'rend fort comme dans l'Odyssée J'écris des lettres Mais je ne sais pour qui J'essaie de mieux-être Dans ma passion incendie Te rappelles-tu me prendre le cœur à deux mains? Malgré l'absence de paroles détournant nos chemins Tous mes scénarios imaginaires sont faux Dois-je traverser la porte pour trouver repos? Je n'sais plus rêver À quoi donc prier Et pourquoi encore aimer Vivre d'obscurité Est mon aptitude Oe j'ai l'habitude Du vide J'ai froid Proche de l'au-delà Au loin résonne mon glas Ha, si tu étais là Je n'aurais perdu la foi Les lumières sont noires Les âmes crient au désespoir La carte sous yeux, je sillonne la ville sur les trottoirs Je crie à l'aide Le silence me répond La fin m'obsède Je m'approche du bas-fond Les masques enfin se délient J'me retrouve avec moi-même Un garçon au spleen sali Par l'amertume des dilemmes Au loin se profile ton toi Mon vrai sourire se déverrouille Mais nous demeurons sans voix Nous ne sommes plus que dépouilles Je n'sais plus rêver À quoi donc prier Et pourquoi encore aimer Vivre d'obscurité Est mon aptitude Oe j'ai l'habitude Du vide J'ai froid Proche de l'au-delà Au loin résonne mon glas Ha, si tu étais là Je n'aurais perdu la foi Ha, si tu étais là Je n'aurais perdu la foi