Je crois que j'aime ça Détruire mes attaches Je crois que j'aime ça Filer sans relâche Je suis le bourreau de ma somnolence Il n'y a plus qu'la nuit en qui j'ai confiance M'exiler est ancré dans mes pensées Je crois que du monde, je vais prendre congé Le poison du doute me paralyse Dois-je m'en aller et faire valises Je m'enfonce lentement dans la pénombre Les démons m'attirent dans les décombres Je crois que j'aime ça Détruire mes attaches Je crois que j'aime ça Filer sans relâche Je ne vois plus les toits du monde immonde Ici l'atmosphère est grisante, pesante Découverte infinie Dans ce lieu interdit Les Enfers m'engloutissent Et l'errance me choisit Un tombeau de marbre ne rend jamais ce qu'il avale Les rideaux d'la mort ensevelissent ceux qui cavalent Les valeurs se perdent contre folie Les malheurs s'exercent sur les bannis Fin de vanité Le poison du doute me paralyse Dois-je m'en aller et faire valises Je m'enfonce lentement dans la pénombre Les démons m'attirent dans les décombres Je crois que j'aime ça Détruire mes attaches Je crois que j'aime ça Filer sans relâche Je crois que j'aime ça Détruire mes attaches Je crois que j'aime ça Filer sans relâche