C'est fini, ça suffit, on suffoque ici La dernière fois je l'ai dit en dernier C'est évident que je sais que tu sais Comment c'est quand c'est commencé Ma zone est grise et sa chimie en est affligée Je me pousse, course et recommence encore Comiques, comiques les vieux souhaits Sont tellement vieux et tellement morts Et l'avion donne deux ailes Et la nuit offre le mal La vie vaut pas deux cennes Quand la fuite ouvre le bal Quand la prison de cernes Me cerne dans un bocal Et je fais preuve de zèle pour tomber Moi je bouge sur tout ce qui tire et je m'en tire Sans mentir je bouge clairement moins Ralentit par le fait de s'être empiffré Et malgré tout je meurs de faim Les nigiris, les sashimis en zone grise Ma volonté a volé vers la boîte noire Collé, collé comme une page pleine Adorer le livre mais taire l'histoire Et l'avion donne deux ailes Et la nuit offre le mal La vie vaut pas deux cennes Quand la fuite ouvre le bal Quand la prison de cernes Me cerne dans un bocal Et je fais preuve de zèle pour tomber Et puis là... L'avion donne deux ailes Et la nuit offre le mal La vie vaut pas deux cennes Quand la fuite ouvre le bal Quand la prison de cernes Me cerne dans un bocal Et je fais preuve de zèle pour tomber Et puis là... Et puis là... Et puis là... ♪ Moi je bouge sur tout ce qui tire et je m'en tire Sans mentir je bouge vers le noir Collés, collés comme deux pages pleines Adorer le livre mais taire l'histoire Et l'avion donne deux ailes Et la nuit offre le mal La vie vaut pas deux cennes Quand la fuite ouvre le bal Quand la prison de cernes Me cerne dans un bocal Et je fais preuve de zèle pour tomber Et puis là... L'avion donne deux ailes Et la nuit offre le mal La vie vaut pas deux cennes Quand la fuite ouvre le bal Quand la prison de cernes Me cerne dans un bocal Et je fais preuve de zèle pour tomber Et puis là... Et puis là... Et puis là...