Voilà l'été (voilà l'été) Voilà l'été (voilà l'été) Voilà l'été (voilà l'été) Voilà l'été ♪ Voilà l'été, j'aperçois le soleil, les nuages filent et le ciel s'éclaircit Et dans ma tête qui bourdonnent, les abeilles J'entends rugir les plaisirs de la vie C'est le retour des amours qui nous chauffent les oreilles Il fait si chaud qu'il nous pousse des envies C'est le bonheur rafraîchi d'un cocktail, les filles sont belles Et les dieux sont ravis Enfin l'été (enfin l'été) Enfin l'été (enfin l'été) Enfin l'été (enfin l'été) Enfin l'été ♪ Enfin l'été mais y a déjà plus d'argent, le tout Paris se transforme en phobie Le métro sue, tout devient purulent dans ses souliers, le passager abruti À dix doigts d'pied qui s'expriment violemment ya plus d'amis, les voisins sont partis L'été, Paris c'est plutôt relaxant, on rêve de plage Et la Seine est jolie ♪ Toujours l'été, c'est pas du superflu Il fait trop chaud, l'soleil m'abasourdit Rillettes sous les bras, j'avance dans la rue, j'pense à ces cons Qui s'font chier dans l'midi Tous ces torche-culs qui vont cuire dans leurs jus Tous et noyés, la mer quelle saloperie Et sur les routes le danger ça vous tue Vivement l'automne Je me sens tout aigri Toujours l'été (toujours l'été) Toujours l'été (toujours l'été) Toujours l'été (toujours l'été) Toujours l'été ♪ Voilà l'été, j'aperçois le soleil, les nuages filent et le ciel s'éclaircit Et dans ma tête qui bourdonnent, les abeilles J'entends rugir les plaisirs de la vie Voilà l'été, j'aperçois le soleil, les nuages filent et le ciel s'éclaircit C'est le bonheur rafraîchi d'un cocktail, les filles sont belles Et les dieux sont ravis Voilà l'été (voilà l'été) Enfin l'été (enfin l'été) Toujours l'été (toujours l'été) Encore l'été ♪ Ku rukuku