Refrain: Ouyep! ouyep! J'en appelle à la banderole Ouyep, manifestez, on nous a volés Vitrolles Couplet 1: Car il est un microbe qui ne cessera de progresser Un virus ignoble qui paralyse les gens et leurs idées Certains un peu aveuglés et n'ayant pas l'esprit précoce Croyaient voir venir la paix, l'attendaient d'un appétit féroce Regardez-les, ils ont encore la bouche ouverte Ils attendront longtemps avant la triste découverte Certains n'amènent rien, ne changent rien, mais font leur possible Si d'autres sont filous, en tous cas, ils laissent les gens paisibles Que voulez-vous que fassent un mafioso et une folle? Qu'on se le dise c'est pas eux qui rendront belle Vitrolles Réagissons! Il faut faire opposition! Réagissons! N'agissons plus comme des moutons! Refrain C. 2: C'est bien beau de fumer des joints toute la journée comme des novices Sachez user du haschich avec plaisir et malice Ce serait bien dommage pour tous les planteurs de graines Si c'est elle qui monte au pouvoir, une chose sera sûre et certaine Vous n'en verrez plus la couleur, vous n'en sentirez plus l'odeur C'est la police qui fumera tout vos durs mois de labeur Car pour l'instant le peu de liberté volatile Qu'on défend contre leurs idées hostiles Sera englouti demain par une violence rare Par le Front National, par Le pen et ses idées barbares Mais qu'une chose soit claire à l'oreille de ces bâtards Nous sommes de gros bavards, de gros vantards, ça nous rend hilares Ils peuvent prendre le monde ils n'auront jamais nos guitares Entre nous et ces fous, on ne se choisit plus par hasard Refrain C. 3: Aux dernières nouvelles cette espèce de méduse A encore fait des siennes et toujours on l'excuse Jusque chez les Allemands, ses propos incohérents Sur l'inégalité des races ont fait la une c'est décevant Elle ne sait plus quoi dire ni quoi faire de ses dix doigts Elle veut changer le nom de Vitrolles, il ne manquait plus que ça On a qu'à l'appeler Paris Deux, ou New-York, ça serait mieux Construire une belle autoroute qui passerait en plein milieu Ou, un gros aéroport, ça ne ferait pas de tort Au tourisme de la ville qu'elle a déjà rendu presque mort Mais Catherine, méfi ou tu poses tes fesses Sur toutes tes chaises, les doigts des Marseillais se dressent Ne sens-tu pas venir la fin de ton mandat? Si tu ne le sens pas par la force tu partiras Refrain