D'une tyrannie du temps, Oblige de l'errance Complice des tourments. Deploie son eloquence. Abroger le desir Par la fulgurance du Silence. Dans le cercle de son mirage C'est l'appel du magistral, Qui par son essence sepulcrale Destine a se tarir. Au Crepuscule scintille les Harmonies Par l'envole des Ennuis. Au lendemain du deuil abrasif, Pousse enfin le grand If Sous les rayons des lumieres en exiles Ou souffle un vent sterile Dans les plaines d'un monde subtil Ici se trouve l'homme de quietude Qui se sublime face aux vicissitudes.